En 1550, le mot piste est attesté comme étant un terme de manège désignant les lignes déterminées au sol par les passages successifs des chevaux. Leur environnement, la forêt de Chambiers et les chemins de campagne sont les pistes proposées par nos chevaux. Avec les lieux, ils sont photographiés. L'image existe et est imprimée. Elle témoigne des aptmosphères, du mouvement. On a ainsi les acteurs et les décors de l'histoire. Et quelque fois, j'ai comme de la chance. J'attrape l'image au vol.

Et parce que nous n'avons cesse d'explorer de nouvelles pistes, l'ensemble peut s'ouvrir, s'agrandir et s'élargir. Je sors alors du champ dans lequel chacun y trouvera ce qu'il veut.

La photographie fige l'esthétisme, les fondamentaux sont là.

Près d'Angers,  le point de départ il est juste ci-dessous...le lieu de l'arbre totem